Puisque tant de motifs financiers s’opposent à faire naître du bordel actuel des nations européennes, un état fédéral les chapeautant, qui soit souverain de l’euro, donc habile notamment, à en faire évoluer la valeur (j’allais écrire… à le dévaluer), n’est-il pas temps, messieurs les entrepreneurs politiques, d’en convenir et d’en tirer les conséquences ?
- abandon de l’euro,
- retour aux monnaies étatiques,
- anéantissement des dettes envers les banksters, au mieux par reniement, au pire par voie d’hyper-inflation,
- retour à la pleine souveraineté étatique de l’émission et de la gestion de la monnaie.
Nous, les cochons de payants, pourrons peut-être profiter de l’occasion pour changer de classe politico-financière et installer quelques guillotines.